samedi 4 avril 2009

Les Albanais au Bataille du Kosovo 1389


Par Joseph von Hammer-Purgstall, Louis Dochez

Bataille de Maritzza  1371

Après la conquête de Philippopolis, Murad avait conclu la paix avec l'empereur grec; mais, à peine avait-il goûté quelque repos à Brusa, qu'un nouvel orage éclata en Europe. Le commandant grec de Philippopolis s'était réfugié auprès du roi de Servie, et après que le pape Urbain V eut proclamé la seconde croisade contre les Turcs, le roi de Hongrie, les souverains de Servie, de Bosnie et de Va- lachie se réunirent pour attaquer en commun les conquérants venus d'Asie, qui déjà menaçaient leurs frontières. Le beglerbeg en adressa l'avis à Brusa, demandant des secours, attendu que, seul, il était incapable de résister aux forces supérieures des alliés. Murad se disposait à traverser l'Hellespont avec des troupes et des vaisseaux , lorsque, arrivé devant Bigha (l'ancienne Pega), jadis conquise par Urchan et consacrée par le séjour du grand vesir Alaed-din, puis retombée enlre les mains des ennemis (probablement des Catalans) (1), il résolut, par la prise de cette place, d'assurer d'abord ses derrières en Asie avant de présenter le front aux chrétiens en Europe. II rassembla donc les bâtiments qui se trouvaient à Aidindschik (Cyzique) et à Gallipoli, les chargea de garder la mer, et mit le siège devant Bigha. Pendant ce temps, en Europe, l'armée des alliés s'était avancée à marches forcées jusque sur la Marizza, à deux journées d'Andrinople; à l'aspect des forces énormes de l'ennemi, Lalaschahin, désespérant de la victoire, détacha, en éclaireur, Hadschi-Ilbeki, le plus vaillant champion de la foi. Hadschi- Ilbeki, n'osant pas exposer son corps de dix mille hommes aux chances d'un combat livré en plein jour à un ennemi supérieur du double en nombre, résolut de surprendre de nuit le camp des chrétiens, gardé avec négligence par des soldats plongés dans l'ivresse. Au bruit des tambours et des fifres, au cri de guerre Allah ! Allah ! les chrétiens furent glacés d'effroi (2); les ténèbres augmentèrent le désordre : « Comme les bêtes sauvages, surprises dans leurs repaires, dit Seadeddin, bondissent et s'élancent, ainsi les ennemis épouvantés prirent la fuite, se précipitèrent vers la Marizza, et disparurent dans les flots [1363].» Aujourd'hui encore, le champ de bataille s'appelle Ssirf-Szindughi, c'est-à-dire défaite des Serviens.

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Le kral servien Lazare, voyant l'orage prèi à fondre sur ses frontières, se prépara à la ré- sistance : voulant même prévenir l'ennemi, il ordonna à son général Démélriiis d'altaqucr et d'enlever le château de Schehrkoï (1), situé au sommet d'une montagne escarpée sur la frontière de la Bulgarie, maintenant soumise aux Otlomans. A cette nouvelle, Ali-Pascha envoya en toute hâte Jachschi-Beg, le subaschi Aine-Beg et le pascha Sarudsche, avec dix mille hommes, pour reprendre la place. L'entreprise réussit. Le château fut rasé, la garnison emmenée prisonnière ; mais Jachschi-Beg, qui en fit le rapport au sultan et demanda la permission de poursuivre l'ennemi, reçut l'ordre de revenir. 
Lazare n'épargna aucune peine pour déterminer ses voisins, les souverains d'Albanie et de Bosnie, à une ligue de peuples contre Murad, et, plein de confiance dans leur appui, il osa envoyer une provocation au sultan (2). Celui-ci avait rappelé d'Asie ses fils Bajesid et Jakub, qui gouvernaient alors les sandschaks de Kutahije et de Karasi (3), ei fortifié son ar- méedes troupesauxiliaires deSsaru-Chan, Men- tesche, Aidin et de Haroid (4). Parmi les souverains chrétiens européens, ses vassaux, il pouvait compter sur le prince de Serradsch et sur Constantin, prince de Gustendil (5). Un plus puissant renfort était le nom d'Ewrenos-Beg, le vieux compagnon d'armes d'Urchan, qui venait d'arriver à l'armée, de retour de son pèlerinage à la Mecque. Murad mena toutes ses troupes par le défilé de Succi (Ssuluderbcnd), le plus occidental de l'Huemus, qui, selon le rnpport d'Ammien Marcellin (6), s'élève graduellement du côté du nord ou de l'Illyrie.
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Du côté des alliés, dans le conseil de guerre, la proposition d'attaquer durant la nuit fut rejetée par Georges Castriota, qui prétendit que la nuit favoriserait la fuite de l'ennemi, le déroberait à sa destruction complète. Lorsque le ciel fut éclairci, les deux armées se trouvèrent en présence, prêtes au combat. Celle des infidèles, composée de Serviens, Bulgares, Bosniens, Albanais, Valaques, Polonais et même de Hongrois, d'après le témoignage de l'historien ottoman, était disposée dans cet ordre : Lazare, roi de Servie , commandait le centre, son neveu Wuk - Brankovich l'aile droite, et le roi de Bosnie, Thwarko, l'aile gauche. Les Ottomans étaient ainsi rangés : Murad choisit sa place accoutumée au milieu de l'ordre de bataille, le prince Bajesid prit le commandement de la droite, le prince Jakub la coqduite de la gauche. Au premier lurent adjoints Ewrenos-Beg et Kurd, aga des Asabes; au second, le subaschi Aine-Beg et le chef des pionniers Saridsche-Pascha. Haider, maître de l'artillerie, se tint au front avec ses pifces distribuées entre les janitschares ; sur les der
rières furent placés les bagages de l'armée (1).
 

I.a bataille s'engagea, et déjà l'aile gauche des Oltomans commençait à plier, lorsque Bajesid accourut à son secours, brisant devant lui les tètes des ennemis avec une massue de fer. l.esang coulait à grands flots. Tout à coup, au milieu des morts el des mourants, s'avance un noble servien, Milosch-Kobilovitsch, qui, s'ouvrant violemment un passage à travers les rangs des tschauschs et des gardes du corps, s'écrie qu'il veut confier un secret à Murad. Sur un signe du sultan, on le laisse approcher; le Servien s'élance, et, au moment où il se courbait comme pour baiser les pieds de Murad, il lui plonge son poignard dans le ventre. Les gardes du corps se précipitent sur l'assassin ; mais Milosch, plein de vigueur et d'agilité, en abat plusieurs; trois fois, par d'incroyables efforts, il échappe i la foule des assaillants, et cherche à gagner le bord du fleuve où il avait laissé son cheval, mais enfin, accablé par le nombre, il est renversé et mis en pièces (2). Cependant, malgré sa blessure mortelle, Murad eut encore assez de force d'Ame pour donner les ordres qui devaient achever la victoire. Lazare fut pris et amené dans la tente de Murad , qui se trouva en état de prononcer sa condamnation, et qui, avant d'expirer, vengea d'avance sa propre mort si prochaine par celle de son ennemi [1389].

Tel est le récit présenté par les historiens ottomans sur l'action de Milosch-Kobilovitsch ; les Grecs et les Serviens ne rapportent pas de même le meurtre du sultan. Si les Turcs ont l'habitude de rabaisser les actions glorieuses des chrétiens, ceux-ci sont trop disposés à grandir leurs héros, à les revêtir des plus brillantes couleurs. Il faut donc opposer les uns aux autres les témoignages contradictoires, et, dans le doute, s'abstenir de prononcer. Voici comme l'action de Kobilovitsch est racontée, non-seulement par les traditions serviennes, mais encore par l'un des Byzantins les plus dignes de foi, Jean Ducas, petit-fils de l'empereur de ce nom : « La veille de la bataille, le roi Lazare était à boire avec ses nobles dans des coupes appelées stravizas : « Vide cette coupe à ma sanlé, dit Lazare à Milosch, quoique tu sois accusé de nous trahir.—Merci, sans les stravizas, répondit Milosch, la journée de demain prouvera ma fidélité.» Le lendemain matin, Milosch .«e rendit sur un puissant coursier dans le camp ennemi, et demanda comme transfuge à être admis à baiser les pieds du sultan, ce qui lui fut accordé. Alors, il se baissa, et, saisissant le pied de Murad, il le jeta il bas de son siège, en l'attirant en avant, et lui plongea son poignard dans le cœur. Puis il s'enfuit avec une telle rapidité qu'il parvint à atteindre son cheval; mais, avant qu'il pût s'élancer en selle, il tomba percé de mille coups par les janitschares. Aussitôt, les Turcs engagèrent la bataille en fureur pour venger l'assassinat de leur souverain. Lazare ordonna au chef des Bosniens, Wladko-Bu- kovich, de tenir tête aux Turcs avec vingt mille hommes. La première charge fut repoussée avec succès; mais, au moment où Wladko allait attaquer à son tour, le bruit se répandit dans l'armée que Tragos-Prowisch, général du despote , avait tourné ses armes contre les chrétiens; ce bruit, qui était faux, fut-il un effet du hasard ou bien un artifice des Turcs ? On ne sut; mais, quoi qu'il en soit, Wladko, effrayé, s'enfuit avec les Bosniens, et Lazare, abandonné des siens, tomba, sans résistance, avec ses nobles entre les mains de l'ennemi. Conduit dans la tente du sultan mourant, il apprit alors seulement comment Milosch-Kobilovitsch, au moment décisif, avait prouvé la foi par lui jurée. «-Grand Dieu, s'écria Lazare, en levant les mains vers le ciel, appelle maintenant mon âme à toi, puisque tu m'as accordé la grâce de contempler, avant ma mort, mon ennemi expirant, frappé de la main d'un guerrier fidèle. » A l'instant le souverain de Servie et ses nobles furent exécutés devant le sultan agonisant, qui put encore entrevoir leurs cadavres. Au reste, d'après l'une ou l'autre version, quelle que soit la véritable, Murad ne fut point frappé dans une attaque à découvert, dans un combat d'homme à homme ; le meurtre sur le champ de bataille a quelque chose de moins odieux que le coup porté dans la tente; Milosch, sortant d'un monceau de cadavres, aura bien pu exécuter le projet conçu et médité à l'avance ;

ainsi, la vraisemblance se trouve du côté des hisloriens otlomans. Quoi qu'il en soit, le nom de Milosch-Kobilovitsch est inscrit dans les annales des Ottomans comme celui d'un meurtrier: et il est répété par les Serviens comme celui du vengeur de la liberté de la patrie. Et toutefois, d'après le témoignage irrécusable des écrivains de la Servie, l'action de Kobilovitsch fut déterminée par l'ambition et par le désir de se laver du soupçon de trahison. Voici ce qui donna naissance à ce soupçon : Wukaschava et Mara, les deux filles de Lazare, étaient mariées, la première à Milosch, l'autre au rival de ce seigneur, Wuk-Brankovich. Les deux soeurs disputant un jour sur la valeur de leurs époux, Wukaschava appuya ses raisons par un soufflet. Mara se plaignit, en pleurant, à Brankovich. qui appela son beau-frère en duel. Le combat eut lieu avec la permission du roi. Milosch renversa son adversaire à bas de son cheval, et le vaincu, par un vil ressentiment contre son vainqueur, l'accusa d'intelligence avec les Turcs. On a vu comment, la veille de la bataille, le roi, en présence de tous les grands, présenta la coupe d'argent à Milosch (1), et comment celui-ci accomplit la parole qu'il avait donnée. Ainsi, son action héroïque fut provoquée p;ir une querelle de femmes. Au reste, le nom de Milosch-Kobilovitsch esl perpétué chez les Serviens et les Otlomans de plus d'une manière (2). Dans l'arsenal du serai, on conserve son armure et l'équipement de son cheval (3); et l'usage, observé encore aujourd'hui, à l'entrée du serai, pour les audiences du sultan, de faire introduire sans armes le personnage présenté par des chambellans qui lui tiennent les bras, ce cérémonial, plein de mesures préventives, se rapporte au meurtre de Murad (4). Sur le champ de bataille de Kossova, on montre trois grandes pierres, placées à la distance de cinquante aunes l'une de l'autre, qui marquent les trois bonds par lesquels Kobilovitsch échappa aux gardes du corps lancés sur lui (5); une chapelle turque marque l'endroit où Murad succomba ; mais ses restes ne reposent point en ce lieu (1): ils furent transportés à Brusa et déposés contre la mosquée élevée pur ses soins.

La vie de Murad justifia pleinement les deux surnoms de Chudawendkiar (seigneur) (2) et de Ghasi (vainqueur), sous lesquels il est célébré dans l'histoire des Ottomans. Il fut un champion infatigable dans la guerre sainte, et presque toujours un maître équitable. Cet hommage lui est rendu par Chalcondylas lui-même, malgré l'exécution de Saudschi et la scène si trafique de Oemitoka, alors que le sultan faisait précipiter dans les flots de la Marizza les jeunes nobles grecs, ses prisonniers (1).

La même année où Murad tomba sous le poignard de Milosch-Kobilovitsch, vit aussi mourir Behadeddin, le grand scheich des Nakschbeu- dis, elle premier des poètes lyriques persans, Hafis, dont le style est le modèle du mysticisme (2). Ce synchronisme est ici indiqué, parce qu'il marque le plus haut degré de mysticisme et de la poésie des Persans, qui dès lors commencent à exercer une grande influence sur la littérature des Ottomans.

Le règne de Bajesid-Ildirim, c'est-à-dire la foudre, commence comme l'histoire du monde par un Fratricide. A peine son père avait rendu le dernier soupir, Bajesid fit mettre ;1 mort son unique frère Jakub, « en raison, dit l'historiographe de l'empire, de cette maxime du Koran : la sédition est pire que l'exécution. 11 considérait aussi le mauvais exemple de conjuration et de révolte donné par son frère Sandschi, et la nécessité de prévenir l'envie de l'imiter. Knfin, à l'exemple de Dieu lui- même qui règne seul et sans rival, celui qui est l'ombre de Dieu sur la terre, le chef des vrais croyants, devait, semblable à Dieu et délivré de tout rival, s'asseoir seul sur le trône. » La politique des sultans successeurs de Bajesid trouva ses motifs si puissants, que l'imitation de sa conduite fut regardée par eux comme un devoir, et que dans la suite Mohammed le Conquérant proclama publiquement comme loi de l'empire, que chaque nouveau sultan (() devait immoler ses frères à son avènement. Les historiographes ottomans pour qui ce fratricide parait une tache à la mémoire de leur héros, malgré leur accord à le regarder comme une nécessité politique, prétendent que l'exécution de Jakub eut lieu à l'insu d'Ildiritn et d'après l'unanime décision desbegs (2). Les historiens européens, qui se plaisent à exagérer les horreurs tomme les ottomans à exagérer les éloges, portent jusqu'à sept le nombre de frères que Bajesid fit exécuter, bien qu il n'en ait jamais eu que deux, et qu'il ne lui en restât plus qu'un seul lorsqu'il devint maître du pouvoir suprême.

Après avoir envoyé en Asie les notifications nécessaires sur la victoire de kossova et sur son élévation au trône, Bajesid s'occupa d'abord de mettre ordre aux affaires de Servie. 11 ordonna à Jigit-Beg de faire des courses en Bosnie, et ù Firus-Beg de pousser des partis du côté de Vi- din ; il prit ensuite possession des mines d'argent de Karatova,et peupla Skopi de colons turcs. Après cela[1389], Etienne, fils deLazarc, élant venu lui prêter serment de fidélité, il conclut avec lui un traité par lequel le despote s'engageait à suivre Bajesid comme allié dans toutes ses guerres, à lui donner sa sœur en mariage, et à lui payer un tribut annuel sur ses mines d'argent (3). lldirim humilia davantage les Pa- léologues qui se disputaient le trône byzantin. Andronicuset Jean, filset petit-fils de Jean, l'empereur régnant, qui avait trouvé contre eux un allié dans Murad, cummeauparavant il avait rencontré un appui dansUrchan contre Canlacuzêne, avaient dû, sur l'injonction de Murad, à cause de leur conjuration avec Sandschi son fils, avoir les yeux brûlés puis être jetés en prison ; mais les ordres pour le supplice n'avaient pas été tellement bien exécutés que les deux princes fussent entièrement privés de la vue, et qu'ils n'eussent conservé quelque espoir de monter un jour sur le trône ; leur garde n'était pas si sévère qu'ils n'eussent pu trouver moyen de s'adresser à Bajesid, et de réaliser par lui leurs espérances.

fi) Ducas.t. i,p. 6.

Bajesid saisit avidement l'occasion qui lui était offerte de semer de nouveaux troubles ; il se réjouit comme le loup lorsque le vent sou'ève la poussière. Ainsi s'exprime Pbranzes faisant allusion sans doute au loup qui se trouvait dans les anciennes armoiries turques. Le sultan vint donc à Constantinople aa secours des princes arec six mille cavaliers et quatre mille fantassins ; il arracha du palais des fontaines ( I ) l'empereur Jean et son fils Manuel, les enferma dans la tour d'Anemas, et les remit à la garde sévère d'Andronicus, qui monta sur le trône de son père (2). Pour prix d'un tel service, Andronicus paya chaque année à Bajesid plusieurs quintaux d'argent et d'or (3); toutefois, il n'écouta pas les conseils répétés du sultan d'immoler son pèreet son frère (4). L'empereur Jean et Manuel, par le secours des Génois, réussirent à échapper aux soldats bulgares qui gardaient la tour d'Anemas, et se réfugièrent auprès de Bajesid. Celui-ci qui avait souvent pressé Andronicus de les mettre à mort maintenant résolut de tirer parti de leur existence our châtier 1» désobéissance de son protégé Andronicus. Réveillant le souvenir de l'ancienne amiîié du vieil empeieur avec son père Mnrad et son aïenl lirchan, Bajesid prêta l'oreille aux propositions de Jean, qui lui offrait d'être son vassal. Celui- ci promit de payer pour la captivité du fils le tribut que le fils avait payé jusqu'alors pour ceHe dn père, de se mettre chaque printemps au service da souverain des Ottomans avec douze mille hommes, cavaliers et fantassins, et de se regarder comme l'ami de ses amis et l'ennemi de ses ennemis. Cet accord fut des deux côtés scellé par un serment (5)[ li90J. Bajesid envoya un messager à Constantinople pour s'informer des habitants lequel des deux fils de l'empereur, Andronicus ou Manuel, ils étaient disposés à reconnaître comme son successeur au tn)ne. Le rapport ayant été favorable à Manuel, Bajesid Uô prêta le secours promis, et une armée turque le replaça sur le trône, comme elle l'en avait arraché deux ans auparavant. Mais Andronicus ne retourna pas en prison; 

Ref:
(1) l'tiy. Co
(1) Engel, Histoire de Servie, p. 343.JD'aprèsTubero, dans Schwandlner , I. n, p. 222 et 223.

(2) l'ur. les Chanls populaires, mis rn allemand par Herder, dans ses OEuvres sur 'art et la lilléialnre, pari, vin , p. 154.

(3) Ssolaksade, fol. 12.

(4) Ibid.

(5) Ibid.
nstitution de l'empire ottoman, 1.1, p. 98.

(2) Seadfdtlin et Ssolaksade.


 1) Amorales aulein per oumiaimitansaequUatemCyri Cambysis filii ; Chai coud, 1.

(2) iladschi-Chalfa, Tables* chronologique*.

LIVRE Vî.


 (1) Bonfinius, p. 471, est dans l'erreur.

(2) Chudaweudkiar est le nom de Dieu commesouverain.


(1) Nescbri, fol. 90; SsadeddiB.foUôi fol. 12.


Kosovo; (4) La description de la plaine de Kossova se trouve dans Bonttni ns, et en outre dan* un ouvrage fort ancien et fort rare, Itinéraire de l'ambassade de Wegraysz a Coiistantinople auprès de l'empereur Suleiman, imprimé en 1531.

(1) Neschri, fol. 87.

(2) Seadeddin,dansBratutti,p. 148

(3) La prière se trouve tout au long dani Bratutti, P- 148el 149.

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Je ponce que chaque étér humain a besoin de savoir d'oû on vienne, de quelle origine et quelle pays.
Par fois l'Encyclopédie ne sufit pas, ex. sur les origines du peuple serbe il manque la question clef; d'ou viens t-il les serbes d'Europe ?
Cet page vous fournie des doc. des pages des livres comme témoingage sur leurs origine et leurs véritable parcoure jus' que acctuélel Kosovo qui l'ont ocuper en 1217 aprés notre ére.


Vous conaissée l'histoire du peuple serbe ?